A cause des fortes mousson de 2018, le talus de la cour de l'école commençait dangereusement a menacé la sécurité des enfants.
Le gouvernement népalais avait envoyé un expert, qui avait préconisé des travaux de sécurisation et de consolidation d’un coût estimé à 23000 euros. L’Etat prenait à sa charge 3000 euros. Pour les 20000 euros restants, aucune solution n’existait pour le village, qui ne dispose d’aucune ressource propre. L’association Le Droit de Savoir des Enfants du Népal avait pris à sa charge le financement des travaux, avec un double effet ! En premier lieu, la sécurisation du talus, avec un système de gabions (« caisses » en grillage métallique, remplis de pierres) empilés sur une grande partie de la hauteur du talus), mais aussi en faisant travailler sur ce chantier des habitants du village, leur procurant ainsi des revenus inhabituels pour eux !
Le gouvernement népalais avait envoyé un expert, qui avait préconisé des travaux de sécurisation et de consolidation d’un coût estimé à 23000 euros. L’Etat prenait à sa charge 3000 euros. Pour les 20000 euros restants, aucune solution n’existait pour le village, qui ne dispose d’aucune ressource propre. L’association Le Droit de Savoir des Enfants du Népal avait pris à sa charge le financement des travaux, avec un double effet ! En premier lieu, la sécurisation du talus, avec un système de gabions (« caisses » en grillage métallique, remplis de pierres) empilés sur une grande partie de la hauteur du talus), mais aussi en faisant travailler sur ce chantier des habitants du village, leur procurant ainsi des revenus inhabituels pour eux !